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Gabin,
Gueule d'amour. Documentaire de Michel Viotte sur la
carrière du légendiare Jean Gabin.
Gazon maudit (French
Twist, 1995). Film de Josiane Balasko, avec Victoria Abril, Josiane
Balasko et Alain Chabat. La vie tranquille et insouciante d'un ménage est
perturbée par l'amitié d'une femme dont la sexualité éveille des idées et
des sentiments jusqu'alors inouis...
Germinal
(1993). Claude Berri nous livre cette version épique du roman d'Emile
Zola. Le chanteur Renaud tient le rôle principal du mineur Etienne
Lantier qui organise une grève dans les corons français des années 1860.
Miou-Miou et Gérard Depardieu sont les pauvres mineurs, Maheu et la Maheuse.
Gigi (1958). Une version
classique du roman de Colette. Réalisé par Vincente Minelli, avec Leslie
Caron, Maurice Chevalier, et Louis Jourdan. Ce film a gagné énormément
de prix américains et internationaux, y compris l'Oscar du meilleur
réalisateur.
Gigot (1962). Un film
de Gene Kelly, mais le vrai génie ici est Jackie Gleason qui a écrit le
sénario et composé la musique. L'hisoire d'un pauvre sourd muet qui se
lie d'amitié avec une prostitué parisienne et sa petite fille. Gleason
mérite une place parmi les grands clowns tant adorés des Français -- Fenandel,
Raimu, Louis de Funès, Marcel Marceau, et oui, Jerry Lewis!!!
Les Glaneurs et
la glaneuse (The Gleaners and I, 2000). Film d'Agnès Varda,
avec Agnès Varda, Bodan Litnoski, François Wertheimer. Documentaire et
traité philosophique et moral sur la vie ce ceux qui passent à la suite des
récoltes -- les pauvres des pauvres. . .
La Gloire de mon père
(1990). Film d'Yves Robert, tiré du roman autobiographique de Marcel
Pagnol. Il ne faut pas manquer de voir ce petit chef-d'oeuvre qui nous
fait revivre de précieux moments du début 20e siècle, tout en nous faisant
respirer l'air du Midi...
The Gold Diggers in Paris
(1938). Film de Ray Enright, avec Rudy Vallee et Rosemary Lane.
Une troupe de danse américaine se trouve par erreur à Paris pour une
compétition mondiale.
Gouttes d'eau sur pierres brûlantes (Water Drops on
Burning Rocks, 1999). Film de François Ozon, tiré de la pièce de
Rainer Werner Fassbinder. Avec Bernard Giraudeau et Malik Zidi. Une
rencontre entre deux hommes, l'un jeune l'un moins, prend ses débuts dans
l'espoir et la compréhension et puis se perpétue dans dans le moins...
Goya
(Goya in Bordeaux,1999). Film de Carlos Saura, avec Francico Rabal,
Dafné Fernandez et Eulalia Ramón. L'artiste passe les dernières années
de sa vie dans un exil volontaire à Bordeaux, où en compagnie de sa femme et
sa fille il passe en revue les grands moments de sa vie personnelle, politique,
et artistique, une vie aussi orageuse que les temps révolutionnaires et
napoléoniens qu'elle traverse (et que le film qui essaie d'en rendre compte).
Grand Prix
(1966). Film américain de John Frankenheimer, avec James Garner. Le
ciruit du grand prix de la course automobile, Le Mans, Monte Carlo, etc. Avec Yves Montand et Françoise Hardy.
La Grande Illusion
(1937). Un des nombreux chefs-d'oeuvre de Jean Renoir. Jean Gabin,
Pierre Fresnay, et Eric von Stroheim dans une prison de guerre allemande durant
la Première Mondiale. Psychologie, nuance, conscience de classe, fin
d'une ère, vanité de la guerre, et une grande évasion -- le tout présenté
avec une finesse rarement atteinte dans le cinéma.
The Great Garrick
(1937). Film de James Whale, avec Brian Aherne et Olivia de Havilland.
Dans le crépuscule du 18e siècle le grand acteur anglais David Garrick décide de
partager les lumières de son génie avec la troupe de la Comédie-Française.
Ceux-ci n'ont pourtant pas de leçon à prendre et décident de le lui apprendre à
son insu. C'est pourtant «su» mais il fait semblant que pas. Une
vraie illusion comique.
Greed (1924). Je tire
encore un peu pour faire rentrer ce film dans le monde du francofilm, mais il
s'agit d'une version du roman naturaliste McTeague de Frank
Norris, un disciple américain d'Emile Zola. Le cinéaste Eric von
Stroheim, un des favoris de tout cinéaste français et un acteur dans La
Grande Illusion de Jean Renoir, nous donne ici un film qui a la
réputation d'être un des plus grands chefs-d'oeuvres du cinéma muet.
Les distributeurs d'origine avaient coupé le film à sa sortie, mais Turner
Classic Movies propose maintenant la version intégrale en 240 minutes.
Von Stroheim avait à l'époque l'idée que le cinéma serait un lieu où on
passerait un journée entière!!!
Green Card
(1990). Gérard Depardieu et Andie MacDowell dans l'histoire d'un
français qui épouse une américaine pour pouvoir rester dans le pays de ses
rêves....
Greystoke: The Legend of Tarzan, Lord of the Apes (1984).
Avec
la vedette française Christophe Lambert. Une bonne version de la légende
avec un Tarzan dont la première langue européenne est le français...
La
Guerre du feu (Quest for Fire, 1982). Un chef-d'oeuvre de Jean-Jacques Annaud, tiré
du roman de J.H. Rosny, et qui a mérité le César pour Annaud, dont le meilleur
film reste encore à mon avis La Victoire en chantant (Black and White
in Color, 1976). Vous connaissez peut-être aussi The Bear, The
Name of the Rose, The Lover, Seven Years in Tibet, etc.
Tous nos Vendéens 1998-99 se souviendront du Futuroscope et de son film
géant-écran/trois-dimensions, Guillaumet,
les ailes du courage, l'histoire du compagnon de Saint-Exupéry comme pilote
de ligne dans les Andés sud-américaines. Tourné en 72 mm, La
Guerre du feu a des dimensions véritablement épiques. Le langage
préhistorique est fourni par Anthony Burgess.
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