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Les Eaux dormantes
(1991). Film de Jacques Tréfouel, avec Philippe Caroit et Danielle
Delorme. Un médecin sans frontières rentre en France après trois
années au Cambodge. Son retour sous le toit natal et aux marais bretons
de la Brière n'amène que mystères et inquiétudes, et la disparition de son
père.
L'École de la
chair (The School of Flesh, 1998). Film de Benoît
Jacquot, avec Isabelle Huppert et Vincent Martinez. Une agente de haute
couture s'éprend d'un jeune bi-sexuel dont les caprices et les fougues
dépassent toutes les limites.
Un Éléphant, ça trompe
énormément (1976). Film d'Yves Robert, avec Jean Rochefort,
Claude Brasseur, Guy, Bedos, Victor Lanoux, Danièle Delorme et Anny Dupérey.
Les aventures sentimentales et semi-mentales de quatre hommes et de plusieurs
femmes -- les leurs ou pas. Robert est le maître de ce genre de comédie.
Elizabeth
(1998). Film de Shekar Kapur. La Reine Margot à l'anglaise.
Vincent Cassel
(Gilles de Rais dans The Messenger) fait le duc d'Anjou, le futur Henri
III, une figure ici obscène et ridicule. A part cela, c'est un très bon film
qui a mérité une nomination pour l'Oscar de la meilleure actrice pour Cate
Blanchett, et a gagné le prix du maquillage pour Jenny Shircore. Notez
aussi Fanny Ardant dans le rôle de Marie de Guise, épouse de Jacques Stuart et
mère de Marie Stuart (Mary, Queen of Scotts).
Emmanuelle
(1974). Les premières aventures de la reine de la sensualité, celles-ci
à Bangkok.
L'Enfant
sauvage (The Wild Child, 1970). L'histoire "vraie" et nouvelle
vague d'un enfant trouvé dans les bois à l'âge de la connaissance . . . et
sans (Jean-Pierre Cargo). François Truffaut lui-même joue le rôle du savant du 18e
siècle qui accueille le petit homme. L'histoire d'un enfant muet, c'est
aussi un hommage au film muet -- par moments très, très puissant.
Les
Enfants du mensonge (1996). Téléfilm de Frédéric
Krivine, avec Emanuel Salinger, Christine Citti et Danièle Lebrun. Un
jeune fiancé apprend durant les préparatifs de son mariage que son père n'a
jamais aimé sa mère et la rivale de celle-ce sera parmi les invités. La
déception l'accable et trouble profondément sa relation avec sa
fiancée. Entre temps il cherche à identifier l'amante du père . . .
Les Enfants du
paradis (The Children of Paradise, 1945).
Chef-d'oeuvre de Marcel Carné. Scénario de Jacque Prévert, avec
Arletty, Jean-Louis Barrault, Piette Brasseur, Maria Casarès, Pierre Renoir,
etc. La vie errante d'acteurs, de nobles, de voleurs dans un Paris
mythique et mystifiant du 19e siècle. Le film a été tourné pendant
l'Occupation mais n'est sorti qu'après le départ de l'armée allmande en 1945.
Et Dieu créa la femme
(1956). Avec Brigitte
Bardot et Jean-Louis Trintignant. J'ai vu des partis ce de film souvent à la
télé en France, mais je n'ai jamais eu la patience de le regarder tout entier.
C'est peut-être ma réticence naturelle en ce qui concerne les sujets
théologiques...
Ever After
(1998). Un autre film que j'ai mentionné avant de
commencer les archives. Drew Barrymore, Dougray Scott et Angelica Huston
dans une version de Cendrillon. Le milieu ici est inspiré très
librement par la cour de François Ier, joué ici par Timothy West --
l'évêque Pierre Cauchon dans le nouveau Jeanne d'Arc (The
Messenger) de Luc Besson. La vénérable Jeanne Moreau est ici la
grande fée. Comme je l'ai déjà dit, l'histoire d'amour évoque
vaquement la liaison entre le dauphin Henri, le futur Henri II, et la belle
Diane de Poitiers.
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